lundi 19 avril 2021

J'ai connu un nobélisé !

Enfin presque, puisqu'il s'agit du lauréat du Prix commémoratif Astrid-Lingren (créatrice de Fifi Brindacier), attribué cette année à Jean-Claude Mourlevat, né en 1952 (belle année !) à Ambert, dans le Puy de Dôme. En terme de récompense financière, c'est le prix le plus doté et il concerne les auteurs de littérature de jeunesse. 

Il y a quelques années, j'avais été subjugué par un de ces romans, La Rivière à l'envers (2000), avec ses deux tomes : Tomek et Hannah, que je m'étais empressé de faire étudier et surtout aimer par mes élèves. Et puis un jour, nous avions eu l'occasion de le contacter et il était venu parler de son travail, de ses écrits devant deux classes, au CDI. Je me souviens d'un homme souriant, à la silhouette effilée, qui, avec simplicité, avait su écouter les enfants et répondre à leurs questions sans jouer les vedettes. Un très bon souvenir.

Jean-claude mourlevat

2 commentaires:

Pippo a dit…

Mais quel bô mec!
Avec Hervé Thys, j'ai organisé une conférence d'Ilya Prigogine, auquel a assisté mon ami de cœur, Jean-Luc Morelle. Cordialement.

Calyste a dit…

Pippo : j'avais aussi remarqué !