Lesquels m'ont procuré les plus grands plaisirs de lecture ? Beaucoup mais surtout Sweig et Wiechert !
samedi 17 avril 2021
Ces diables d'allemands !
Mon premier émoi pour la littérature allemande (ou de langue allemande) fut dû à Goethe (à tout seigneur tout honneur), avec Les Souffrances du jeune,Werther, lu à l'adolescence (je me croyais le dernier des romantiques, à l'époque !). Ensuite vint le Journal d'Anne Frank (qui fut à l'origine de mon premier journal intime), Kafka (La Métamorphose et Le Château) et, si je n'oublie rien, Günter Grass et Le Tambour (et roman et film) mais Le Turbot m'a vite rebuté. Puis, beaucoup plus tard, Hermann Hesse (Le Loup des steppes et Narcisse et Goldmund), Alfred Doblin (Berlin Alexanderplatz), Stefan Sweig (La Confusion des sentiments, Marie Stuart puis à peu près tout), Heinrich Böll (L'honneur perdu de Katharina Blum), Arthur Koestler (Le Zéro et l'infini et Spartacus, écrits en anglais), Hans Peter Richter (Mon ami Frédéric, que je faisais lire à mes 5°), Eric Maria Remarque (A l'Ouest, rien de nouveau), Friedrich Dürrenmatt (Le Juge et son bourreau), Leo Perutz (Le Cavalier suédois), Ernst Jünger (Le Lance-pierres). Je ne suis pas sûr que les cités jusqu'ici soient bien dans l'ordre chronologique de mas découvertes. Et le dernier découvert, et pas des moindres : Ernst Wiechert (La Servante du passeur, l'Enfant élu, Missa sine nomine, Les Enfants Jéromine). (J'allais ajouter Axel Munthe et Le Livre de San Michele, mais je viens de me rappeler qu'il est suédois ! )
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7 commentaires:
À l'occasion, rajoute tous les Remarque, et aussi Hans Fallada, très injustement oublié.
Et encore, Une rencontre en Westphalie, de Günther Grass, un bijou !
De tout ce que tu cites je ne connais que le "loup des steppes",forcément, mal foutu et barbant à mon sens et Zweig qui est un des mes auteurs favoris et j'en ai très peu.
A part deux Sweig il y a quelques années... rien. Mais comme je ne lis rien...
Plume : Hans Fallada ? Complétement inconnu au bataillon. Jamais entendu parlé ! Je vais y penser.
Karagar : si tu connais et aimes Sweig, tout va bien ! Ego te absolvo !
Cornus : non, tu ne lis pas les mêmes choses.
Calyste> En dehors des écrits du travail (j'en ignore la volumétrie, mais je pense que cela finit par faire beaucoup, même si la lecture en diagonale est plutôt la règle), je ne lis que des revues, en particulier une de vulgarisation scientifique.
Cornus : c'est ce que je voulais dire.
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