Quant à mes sorties pédestres, elles sont quasi passées à la trappe ! Un presque second confinement ! J'en ai pourtant fait une, l'autre jour, essayant au maximum de me tenir à l'ombre, guettant le moindre soufflounet de vent, ce qui n'a pas empêché que j'en revienne trempé.
Et, sur mon chemin, j'ai trouvé ce pauvre volatile mort apparemment depuis longtemps, que des fourmis finissaient de déguster. Que lui est-il arrivé ? Là où il était, ça ne pouvait pas être un coup de voiture. Déshydratation ? Non plus, il y a de l'eau pas loin. Je penche plutôt pour un prédateur quelconque car il manquait quelques parties du corps. Ou "crise cardiaque" en plein vol (il paraît que ça arrive, comme je l'ai vu à Venise pour un pigeon) ?
Je n'aime pas tuer un animal, je ne l'ai jamais fait, sauf une fois, par accident. Je n'aime pas non plus les voir morts. J'ai pensé à tous les cris joyeux que cette hirondelle (ou martinet ?) avait dû pousser le soir, à la nuit tombante, en rasant les toits.
4 commentaires:
La cause de la mort, je n'en sait fichtre rien. Et les parties manquantes ont pu être dégustées a posteriori. Il s'agit bien d'un Martinet noir (il y a peu d'hirondelles dans les villes en général) : présence de très longues ailes effilées assez typiques.
Au sujet de la chaleur, je ne la réclame pas, mais contrairement à l'an dernier, nous en avons moins cette année sauf un petit coup début juin (on verra bien dans la semaine qui vient).
Peut-être un jeune martinet tombé du nid et consommé au sol. Ou attrapé par une espèce aviphage (épervier, faucon pèlerin) même si la crise cardiaque n’est pas à exclure ...
Cornus : et aujourd'hui, pour la chaleur, c'est encore pire.
Câo : tombé du nid, je ne crois pas, il semblait adulte.
Calyste> Et chez nous, toujours aucun excès et même frais à l'ombre. En revanche, le vent est pénible, alors que je pense que tu l'apprécierais volontiers.
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