lundi 20 juillet 2020

La Lionne blanche

Voilà bien le Mankell le plus touffu, le plus sombre, le plus documenté que j'aie lu jusqu'à aujourd'hui.
Une partie de l'intrigue se situe en Suède, avec Wallender, bien sûr, qui enquête sur la disparition puis l'assassinat d'une femme tout à fait banale, l'autre en Afrique du Sud dans les années de fin d'apartheid. Mais que peuvent bien avoir en commun une agente immobilière de Scanie et De Klerk ou Mandela ? Restent 600 pages à lire pour le savoir, remplies de violence, de trahisons et de dépression.
(Henning Mankell, La Lionne blanche. Ed. du Seuil. Trad. de Anna Gibson.)

2 commentaires:

plumequivole a dit…

Mon préféré de Mankell figure-toi ! Et de très loin.

Et il y a une adaptation télé excellente de 2016, avec Kenneth Brannagh, passée sur Arte.

Calyste a dit…

Plume : je crois bien que moi aussi ! Pour l'adaptation, je me méfie toujours : j'ai en tête un certain physique des personnages et ça ne correspond pas toujours. Mais Brannagh, ça devrait aller.