Ma sœur, qui l'avait en double, m'a donné ce roman noir japonais. J'y ai retrouvé, avec moins de subtilité, le délicat parfum d'"anormalité" que j'aime chez Yoko Ogawa.
Une femme a tout oublié de ses premières années d'existence (avant cinq ans) et demande à un ami de l'accompagner jusqu'à la maison isolée dont son père, en mourant, lui a indiqué par plan, l'itinéraire d'accès. Cette maison est-elle à l'origine de son mal-être ? De sa semi-amnésie ?
Je pense que ce roman ferait un excellent scénario de thriller au cinéma.
(Keigo Higashino, La Maison où je suis mort autrefois. Ed. Babel noir. Trad. de Yutaka Makino.)
mercredi 29 juillet 2020
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