Je l'apprends à l'instant sur France Inter. J'avais eu l'occasion de bavarder avec elle après un spectacle à Lyon. Elle m'avait paru d'une grande simplicité.
Le premier opéra que j'ai vu est Le nozze di Figaro, du divin Mozart, au Théâtre de l'Archevêché, à Aix-en-Provence, au cours de l'été 1964. Teresa Berganza interprétait le rôle de Susanna et fut très applaudie. Selon mon amant feu Gerard Mortier (voir Wikipédia), cet opéra est le plus beau du monde. Je crois qu'il avait raison. Je sors toujours de ce long spectacle frais comme une rose qui vient d'être coupée. Bonne journée, cher Calyste.
Une si belle voix (son Carmen! ses Mozart....) et, d'après ses entretiens, une belle personne. Je me souviens comment elle disait, depuis son appartement devant l'Escorial, ne plus vouloir tomber amoureuse, attendre la mort en lisant des textes bouddhistes.
Jérôme : la voix et le jeu aussi. Une belle personne, oui. La conversation que j'avais eue avec elle portait sur sa ... descente d'organes. J'étais baba de tant de simplicité et de vérité de la part d'une telle diva.
7 commentaires:
Cela me dit quelque chose, mais c'est très vague.
Cornus : elle gagne à être connue !
Le premier opéra que j'ai vu est Le nozze di Figaro, du divin Mozart, au Théâtre de l'Archevêché, à Aix-en-Provence, au cours de l'été 1964. Teresa Berganza interprétait le rôle de Susanna et fut très applaudie.
Selon mon amant feu Gerard Mortier (voir Wikipédia), cet opéra est le plus beau du monde. Je crois qu'il avait raison. Je sors toujours de ce long spectacle frais comme une rose qui vient d'être coupée.
Bonne journée, cher Calyste.
Une si belle voix (son Carmen! ses Mozart....) et, d'après ses entretiens, une belle personne. Je me souviens comment elle disait, depuis son appartement devant l'Escorial, ne plus vouloir tomber amoureuse, attendre la mort en lisant des textes bouddhistes.
Pippo : attention à tes épines !
Jérôme : la voix et le jeu aussi. Une belle personne, oui. La conversation que j'avais eue avec elle portait sur sa ... descente d'organes. J'étais baba de tant de simplicité et de vérité de la part d'une telle diva.
Sans doute son côté espagnol, sans flafla :-)
Jérôme : sans doute.
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