Sur la page de garde, ces mots écrits à la main, d'une belle écriture brun doré. Eh bien, Marraine a bon goût et elle a raison. Voilà bien longtemps que je n'avais pas été touché à ce point par un roman. Si ce mot a un sens, je crois que l'on touche là au chef-d’œuvre.
Impossible de résumer tant ce livre est intense. J'en retiendrai longtemps les évocations nombreuses des vastes paysages américains, ceux qui m'ont donné un jour l'idée d'ouvrir ce blog.
(Jim Harrison, Dalva. Christian Bourgois éditeur. Trad. de Brice Matthieussent.)
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