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samedi 31 août 2019
Et pourquoi pas la peinture ? (68)
En peinture, c'est comme pour la chanson, la pub ou les jeux télévisés : je déteste quand on "utilise" des enfants. Souvent, même le cinéma tombe dans la caricature. Autant dire que, sur ce coup-là, je ne suis pas rousseauiste : les enfants ne sont pas de charmants petits anges ensuite pervertis par la société. Cette mièvrerie-là m'insupporte ! En voici quelques exemples en peinture, même si j'excepterais un ou deux tableaux.
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4 commentaires:
Tout dépend ce qu'on appelle du niveau "d'utilisation". Personnellement, je suis pas fan et carrément contre a priori en musique, chanson, danse, publicité... Je considère que même s'ils ont du talent, je dois pouvoir m'en passer. Je suis moins radical pour le cinéma. D'une manière générale, je suis contre les "singes savants" qui ne sont que le reflet "bachotant" de leurs parents.
Dans ces peintures, je n'apprécie vraiment (pour la qualité qui me touche et pas parce que ce sont des enfants) que celles de Botticelli, Le Nain, Murillo et William-Adolphe Bouguereau.
Cornus : tu as bon goût, mais je n'en doutais pas.
Heu... C'est vraiment un enfant sur la vignette du Velasquez?
Jérôme : Dans le tableau des Ménines. Il s'agit de Maria Barbola, une naine hydrocéphale. Enfant ou pas, je ne sais pas.
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