jeudi 27 décembre 2007

Tu es venu.

Tu es venu. Tu as comblé mon désir de toi . Je garde ton odeur ce soir, sur mes mains et dans mes draps jaunes. Demain matin, je mettrai ton cadeau pour courrir. Il me tiendra chaud, comme toi.

Ma main, tu l'as tenue à la veillée de Noël. Tu sais ce que représente le Notre Père pour moi. Je n'ai pas pu empêcher mes larmes. J'ai été si heureux de chanter avec toi.

Qui a dit qu'il faisait gris aujourd'hui? Cari, carillonne,...

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Cher confrère,

Rédac'-chef de blog ou de magazine en vue n'est pas un boulot qui s'improvise, certes non!

On peut effectivement trafiquer et gagner deux jours de parution en écrivant le soir vers 23h00 et des poussières pour voir ses billets publiés le lendemain vers 00h00 et des brouettes... (Ce qui constitue d'ores et déjà un gain sur les horaires surchargés de l'enqeignant-type!)

Un tel rythme de vie appelle cependant un entrainement physique idoine et/ou un soutien du lectorat sans faille (au risque d'oublier, tous poils dehors, les rendez-vous mondains, nécessaires à toute survie professionnelle).
Or, il appert que nos lecteurs ne restent dupes que fort peu de temps de nos arrangements professionnelles... Ils veulent de la page, ils s'inquiètent, s'émeuvent, tracent, surveillent les visites, les baisses de fréquences, les provenances nationales, les biais divers et variés de connexion, etc.

Puis viennent les lettres d'amour, les colis piégés, les suicides en direct sur YouTube ou collectifs, au gaz sarin, en Transnistrie!

A votre niveau de dévotion au cyberworld (voire de dépendance, allai-je dire), il ne vous reste guère comme soutien que le Guronzan. Ou une totale soumission au Cyberworld et à ses règles...

Bien à vous,

Franz-Olivier Giesbert
Le Point
74, ave du Maine
75014 PARIS

Anonyme a dit…

C'était donc vous dans les rangs du fond à chanter comme des satrapes?!

Bernard Tétu