mercredi 26 septembre 2012

Mystères et boulettes de blog

Outre que ma liste de commentaires apparaissant dans Google reader est actuellement envahie de publicités ésotériques à tendance médicales, pour le viagra en particulier, mais, heureusement, automatiquement bloquées sur le blog, voilà que cet engin se met à en envoyer certains plus sérieux aux oubliettes. Quelques-uns des lecteurs de ce blog m'en avaient déjà fait part, ce que je mettais sur le compte d'une erreur de manipulation de leur fait.

Et ce matin, j'en ai vu apparaître un qui, immédiatement, s'est volatilisé. Pardon, S., mais je n'y suis pour rien. Je tiens à dire que, depuis le début, je n'ai jamais pratiqué aucune censure sur les commentaires reçus, hormis pour quelques-uns totalement farfelus ou insultants, non pour moi, mais pour d'autres commentateurs. Ainsi donc, s'il m'est arrivé de ne pas répondre à tel ou tel d'entre vous, qu'il sache que cela ne vient pas d'une quelconque acrimonie de ma part.

7 commentaires:

Dominique Hasselmann a dit…

Je confirme qu'aucun de mes commentaires (certes trop rares !) n'a jamais disparu de ce blog.

En revanche, je m'étonne toujours du délai qui est imposé par le système pour accéder à Potomac, on a l'impression que ce blog ne va jamais s'ouvrir, et j'ignore d'où cela vient...

laplumequivole a dit…

Même chose, sur les 2 points !

Calyste a dit…

Dominique et La Plume: Oui, on m'a déjà parlé de cette lenteur. Je n'en connais pas la cause. Il m'est arrivé parfois la même mésaventure sur d'autres blogs que je lis.

Cornus a dit…

En avais-je un aux oubliettes ou ai-je juste été victime d'un dérapage de souris ?

Calyste a dit…

Cornus: non, je n'ai jamais effacé un seul de tes commentaires.

Cornus a dit…

Je n'en doute pas, mais comme m'est arrivé que des commentaires aillent aux oubliettes. Mais comme je ne vérifie pas systématiquement que le commentaire a bien été enregistré...

Calyste a dit…

Cornus: il peut arriver aussi que le commentaire disparaisse indépendamment de ma volonté, comme celui de S., l'autre jour que j'ai à peine eu le temps de lire avant qu'il ne s'en aille. Je n'ai pas encore compris pourquoi.