vendredi 15 juillet 2011

Little Bird

Beaucoup de mal à entrer dans ce polar virtuose. Principalement à cause des prénoms ou surnoms des nombreux personnages qui entourent ou que côtoie le shérif Longmire: souvent proches par leur consonance, ils m'ont souvent, au début, induit en erreur sur l'identité de celui dont on parlait.

J'ai bien fait de continuer. Au fil des pages, je me suis attaché à cet homme désabusé et n'ayant pas encore fait le deuil de sa femme. L'approche faite ici de la condition des Indiens aux États-Unis est aussi passionnante et nouvelle (en tout cas dans ce que j'ai pu lire jusqu'à présent). Et puis, depuis mon enfance et la lecture par notre instituteur des romans de James Fenimore Cooper, l'amour des grands espaces ne m'a jamais quitté. Ce n'est pas pour rien que ce blog porte ce titre!

Pour une analyse un peu plus détaillée, voir le billet de Voyelle et Consonne.

(Craig Johnson, Little Bird, Ed. Gallmeister. Trad. de Sophie Aslanides.)

5 commentaires:

artetlitterature a dit…

"Voyelle et consonne" m'a donné envie de le lire; je m'y mettrai sans doute bientôt!

Calyste a dit…

Françoise Chatelain: c'est également chez eux que j'ai connu ce roman.

Lancelot a dit…

Ca fait très réunion littéraire chez Nadine de Rothschild, tout ça... :D

Calyste a dit…

Lancelot: et ta sœur, elle s'appelle Nadine?!!!!

Lancelot a dit…

Non, Roselyne. Ca la fout quand même mieux.
Enfin, à mon goût à moi.