samedi 26 juin 2010

Indiscrétions, épisode 2

Merci à vous, nombreux, qui vous êtes prêtés à mon petit jeu "Complétez les phrases". Dans certaines des réponses, j'en ai reconnu certains; d'autres, au contraire, me surprirent en m'apportant un autre éclairage. Comme promis, voici mes propres réponses, datant d'une bonne année, mais aujourd'hui, je ne changerais pas grand chose.

- Il est clair que je me préfère maintenant qu'à 20 ans.
- On devrait être plus simple pour établir des relations.
- Je ne pourrai jamais ne pas réagir contre l'injustice.
- Le monde est perfectible mais beau.
- Je dois être plus attentif aux paroles des autres.
- Je ne mérite pas que l'on me dise:"Tu ne sais rien faire".
- Je ne suis pas capable de résister devant du chocolat noir.
- Je n'arriverai jamais à ne pas essayer de comprendre.
- Je n'ai pas le droit de me plaindre.

5 commentaires:

Cornus a dit…

Je ne sais pas si l'on peut corréler ces phrases avec ceux qui les ont complétées. Je suis un peu sceptique, du moins en ce qui me concerne, tant on peut écrire des choses souvent très conjoncturelles, pour ne pas dire pratiquement n'importe quoi, d'autant qu'il n'y avait pas de règle du jeu précise.

KarregWenn a dit…

Cornus > Même le "n'importe quoi" n'est jamais tout à fait n'importe quoi. Sinon, pourquoi celui-ci plutôt qu'un autre ?

Cornus a dit…

Certes, KarregWenn, mais comment un psychologue peut-il analyser un ensemble aussi mouvant et quasi-infini de variations ? Ayant fait moi aussi des tests d'un autre ordre, je doute. Mais peut-être qu'une clé m'échappe.

Lancelot a dit…

Moi ce qui m'a étonné, c'est que j'ai essayé de déconnecter du jeu et justement d'écrire "n'importe quoi" en suivant d'autres règles. Et le résultat final m'a vraiment étonné par rapport aux échos de certaines choses que je porte en moi. Ceci dit, bien malin le psychologue aui aurait su lire dans mon fatras sans me connaître à fond au préalable.

Calyste a dit…

Je laisse Cornus et KarregWenn à leur controverse: ils sont bien assez grands pour se débrouiller tout seuls.
Même en te connaissant un peu, Lancelot, le décryptage s'avère délicat!