Dans la foulée, ce chant est devenu incontournable à Versailles. De sorte que, vingt-huit ans plus tard, Haendel, compositeur de la cour d'Angleterre, a été frappé par sa beauté lors d’une visite. Il a alors repris l’air et fait traduire les paroles, presque mot pour mot, avant de présenter la chanson à son roi, sous le nom de God Save the King.
Le succès a été immédiat, si bien qu’elle a été adoptée en 1745 comme hymne du pays. Et depuis 1837, il alterne avec le God Save the Queen, lorsqu‘une femme est sur le trône.
5 commentaires:
L'embêtant c'est que nous on ne pourra plus dire God save the Kouign-amann.Zut alors, un jeu de mots à la noix qui va se perdre...
Plume : rassure-toi=, le Kouign-amann, lui, est immortel !
Ah Plume avait déjà commencé ici hier soir... Comme quoi...
j'ignorais cette origine
Cornus : elle est partout ...
Karagar : je crois en avoir parlé mais il y a longtemps.
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