Des animaux, surtout : la palombe qui, chaque jour, venait se percher sur le même fil électrique, exactement au même endroit, parfois secouée par le vent qui ne la délogeait pas. Les grenouilles que l'on entendait coasser sans savoir exactement où, le crapaud gris qui nous rendit visite un soir et qui, pour s'enfuir, tenta d'escalader un muret trop lisse, les poules de la voisine, derrière la haie, qui, parfois, s'engageaient dans d'interminables palabres, des chats, beaucoup de chats ...
Des boîtes à livres aussi, un peu partout, même dans les plus petits villages.
Et, je l'ai déjà dit, la gentillesse et la disponibilité des gens ...
3 commentaires:
Je retiens en premier la dernière phrase.
Cornus : attention, ça change sûrement en cas d'affluence !
Calyste> Oui, je me doute, mais le fond est là et tu l'as dit, c'est bien.
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