Le seul problème avec les polars d'Indridason, c'est que je les avale tout ronds, sans mâcher, sans prendre le temps. Et celui-ci comme les autres. Les Roses de la nuit a été écrit juste avant La Cité des jarres qui a rendu célèbre l'écrivain islandais.
Ce n'est sans doute pas son meilleur (encore qu'il soit très bien) mais il est émouvant de retrouver Erlandur à ses débuts, ses problèmes de couple, ses enfants terribles, ses collègues Sigurdur Oli, pas encore marié, et Elinborg. Il y est aussi question des Fjords de l'ouest et des quotas de pêche rachetés par des entrepreneurs et vidant les villages de pêcheurs obligés de migrer à Reykjavik.
(Arnaldur Indridason, Les Roses de la nuit. Ed. Métailié. Trad. de Eric Boury.)
1 commentaire:
Câo : j'ai eu le temps de lire ton commentaire effacé. Réponse : sic "transit" ....
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