Un roman de Dostoïevski d'à peine 80 pages, ça ne se refuse pas ! Quatre nuits et un matin de conversations entre un célibataire rêveur et une jeune fille amoureuse dans un Saint-Pétersbourg désert. Du romantisme agrémenté d'un peu d'humour. C'est ce que j'appelle une lecture de transition. Et, Dieux immortels, ma sœur m'offre cet après-midi un Indridason qui m'était inconnu : Les Roses de la nuit. Je m'y mets dès ce soir !
(Fédor Dostoïevski, Les Nuits blanches. Ed. Babel. Trad. de André Markowicz.)
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