En fait, ça n'en est pas un, un roman noir plutôt dans lequel j'ai eu du mal à pénétrer, m'attendant à autre chose. Et puis la sauce a pris pour ce portrait de flic de Dublin voulant réformer le monde. Déjanté, oui, il l'est et Hamilton a l'art, par petites touches, de nous le faire connaître, et aimer malgré sa singularité. Et puis, je n'oublierai pas la beauté et la cocasseries des comparaisons ou métaphores de Hamilton.
Hugo Hamilton, Déjanté. Ed. Phébus. Trad. de Katia Holmes.)
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