jeudi 8 mars 2018

Musique et cinéma




Jamais le dimanche, de Jules Dassin (1960) : Voilà un film qui me tient particulièrement à cœur, et sa musique aussi.

D'abord parce que la chanson Les Enfants du Pirée est une des plus anciennes dont je me souvienne (avec Le loup, la biche et le chevalier, d'Henri Salvador). J'habitais encore chez ma grand-mère à ce moment-là.

Ensuite parce que le film me rappelle mes nombreux voyages en Grèce avec mes élèves et quelques soirées dans des cabarets (dont l'une où la chanteuse, dame d'un âge certain, toute de noir vêtue, et qui avait une très belle voix, avait mal fixée sa perruque qui ne cessait de glisser, ce qui entachait un peu la beauté de ce qu'elle interprétait...). Au retour de l'un de ses voyages, en 1994, nous avons appris la mort de Mélina Mercouri, mort à la suite de laquelle la Grèce instaura plusieurs jours de deuil national.

Enfin, en cette journée consacrée à la femme (je sais que ça en énerve beaucoup, et je les comprends), je peux bien rendre un petit hommage à cette grande actrice et chanteuse,  ainsi qu'à toutes mes collègues femmes qui ont partagé ces voyages avec moi, et en particulier Évelyne, bien sûr. La dernière fois que je l'ai eu au téléphone, elle préparait d'ailleurs un voyage en Grèce (mais sans élèves...)

2 commentaires:

Jérôme a dit…

C'est un si beau film et léger en plus!

Calyste a dit…

Jérôme : un film magnifique, c'est vrai.