lundi 30 septembre 2013

Septembre

Septembre se termine. Mon premier mois de retraite s'est écoulé, plein de joies et de peines. Dans un mois, je vieillirai d'un an. Vendredi, mon blog aura six ans. Les champignons ont remplacé les glycines, les géraniums commencent à faiblir. Les courges se vendent bien, les pommes et les poires aussi. La journée s'abrège, il faut, la nuit, fermer les fenêtres. Et, bien sûr, les feuilles mortes se ramassent à la pelle.

10 commentaires:

Valérie de Haute Savoie a dit…

Ah je ne ferme pas encore les fenêtres :)

karagar a dit…

Pour les fenêtres, la semaine passée est celle des nuits les plus douces que j'ai connues ici. Les géraniums sont bien vaillants et pour longtemps, quant aux feuilles, il y a eu la petite chute aoûtienne pour cause de sécheresse mais pour le reste on en est loin... Bref, pour moi la beauté de la lumière et la durée du jour seuls disent le changement de saison. Lyon est bien exotique...

Petrus a dit…

La plus belle et la première des 3 plus belles saisons !
Le sève se retire pour revenir avec plus de force encore. Tu devrais y penser !

plumequivole a dit…

Quel concert en l'honneur de Septembre ! Et je veux y jouer ma partition. Le mois de l'abondance !
Toujours pas fermé les fenêtres ni quitté les débardeurs et encore un bon bain avant-hier. Que demande le peuple...

Calyste a dit…

Valérie : c'est que je suis un peu frileux.

karagar : plus que tu ne le penses, sans doute...

Petrus : bien d'accord avec toi. C'est celle que je préfère.

Plume : Ben oui, mais tout le monde n'a pas le Gulf Stream à sa porte !

Cornus a dit…

Les feuilles tombent encore bien timidement en ce moment. Les tomates ont du mal à rougir.

Dominique Hasselmann a dit…

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Bonne retraite, alors !


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Calyste a dit…

Cornus : j'espère qu'ici elles n'auront pas recouvert les champignons. J'y vais demain.

Dominique : merci à vous.

Georges a dit…

Quel joli temps pour se dire au revoir.
Quel joli soir pour jouer ses vingt ans.
Sur la fumée des cigarettes,
L'amour s'en va, mon cœur s'arrête.

Mais il y a aussi la joie, tapie sous les feuilles mortes.

Calyste a dit…

Georges : que je l'aime, cette chanson. Et je sais que toi aussi. Alors, on partage, la joie et le reste.