jeudi 23 juillet 2009

Merci, deux riens.

Un air de clarinette, que l'on répète et que l'on redit dans la cour, sous la verrière.

Une odeur de vanille sur mon coussin, à la sieste.

Deux plaisirs de ma journée.

Deux bonheurs de cet été.

Et puis mon rêve...

4 commentaires:

Lancelot a dit…

Le psychanalyste ressurgit, rajuste ses lunettes et ricane :

"Il s'appelle comment, votre couSin qui sent la vanille et que vous reniflez de partout pendant une... 'sieste'....?"

Calyste a dit…

C'est grave, Docteur Sigmund Lancelot?

Lancelot a dit…

Tu as corrigé la faute....? TRICHEUR !!!!!!

Calyste a dit…

Elle est tout de même restée un mois, le parfum de vanille a dû s'éventer!