dimanche 7 mars 2021

Archéologie épistolaire

Je pestais à l'idée que nous serions peut-être reconfinés à Lyon ce week-end et, ce soir, je me rends compte que je n'ai pas mis les pieds dehors, sauf pour vider mes poubelles. Temps gris et températures un peu justes n'expliquent pas tout. Je suis toujours en plein rangement . Je prends tout mon temps mais ça avance. 

Hier et aujourd'hui, c'étaient les papiers : principalement écrits personnels (journal ou romans que je n'ai jamais envoyés à aucun éditeur) et lettres d'amants, de Pierre ou de la famille. La tentation était de relire mais je sais ce que ça donne après coup : un joli coup de blues. Alors, non (sauf deux lettres : une de Pierre et une de Silvio). Pas de blues donc. Mais une petite nostalgie de l'époque où l'on écrivait des lettres. Et ils écrivaient bien, les bougres ...

4 commentaires:

cão a dit…

encore mieux que le pilon : l'auto-édition ...
pour les archéologues épistolaires de demain.
;-)

Calyste a dit…

Câo : je doute que mes neveu et nièce soient vraiment intéressés !

cão a dit…

Calyste : sauf que les archéologues, même épistolaires, n'ont pas forcément un lien parental, même lointain, avec les auteurs ...

Calyste a dit…

Câo : c'est pas faux ! :-)