Un temps à ne pas mettre un rat dehors aujourd'hui. Un peu de rangement donc, et je tombe sur les albums de timbres récupérés dans la rue, sous la pluie, il y a des mois de cela. Ils étaient empilés sur la commode de la chambre d'ami et oubliés là.
Alors, j'ai récupéré ce qui était récupérable. La pluie s'était faufilée entre les pages et avait collé nombre d'entre eux contre le carton du support. Certains sont venus facilement, d'autres ont été irrémédiablement perdus. J'ai mis ceux que j'ai pu sauver dans de grandes enveloppes, en vrac. Je continuerai plus tard en les classant.
Et, en parlant de classement, je n' ai pas compris celui qu'avait suivi leur propriétaire puisque la Grèce côtoyait l'Argentine et le Vietnam l'Allemagne. Un seul album ne comprenait que des timbres français. Qui était donc ce propriétaire ? Un vieillard décédé dont les héritiers n'ont pas jugé bon de conserver cette collection ? Un adolescent passé à l'âge adulte et reniant ces anciennes amours ? Je ne le saurai jamais.
En revanche, je sais qui m'a donné d'autres albums, bien entretenus ceux-ci : c'est Isabelle, la parisienne d'abord rencontrée par blogs interposés puis, en vrai, dans le quartier de la Confluence, lors de l'un de ses passages à Lyon. Qu'elle en soit encore remerciée.
2 commentaires:
Je donne les timbres "de collection" que je récupère çà et là à un collègue...
Cornus : ça me fait penser aux échanges discutés âprement entre copains au lycée.
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