Un Connely qui attendait depuis longtemps, coincé sous une pile. Bosch bien sûr mais aussi l'ancien du FBI, Terry McCaleb, déjà rencontré dans Créance de sang. Du Connelly pur jus, toujours à LA, mais avec incursion dans la langue latine du Moyen-Age ("Cave cave dus videt") et dans l'univers pictural (Harry Bosch s'appelle en réalité Hieronymus Bosch, ne pas l'oublier).
Plaisir donc de retrouver en filigrane les œuvres de ce peintre néerlandais (1450-1516) que j'aime et dont j'ai déjà montré quelques exemples. Et là, on peut le dire à propos de ce roman : c'est chouette !
(Michael Connelly, L'Oiseau des ténèbres. Ed du Seuil. Trad. de Robert Pépin.)
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