A la télévision, dimanche soir, un jeune pianiste de grand talent : Sofiane Pamart. En voyant ses doigts voler sur les touches à une vitesse vertigineuse donnant l'impression qu'il ne les touche pas, j'ai ressenti une grande émotion. Pas à cause du morceau joué (je pense qu'il s'agissait d'une improvisation) mais par ce clavier et ces doigts aériens. J'ai revu Pierre autrefois accomplissant le même prodige.
Aujourd'hui, Pierre a disparu. Le piano est toujours là, ans le salon, inutile ...
1 commentaire:
Rien ne laissait présager peut-être, mais a raison de l 'émotion est assez claire...
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