Ça vaut parfois le coup de veiller tard. Devant la télé, je zappe avant d'aller me coucher et je tombe sur une émission intitulée : Comme un air d'Italie. Bigre ! me dis-je in petto (enfin, j'espère !), tu vas tout de même aller voir ce qu'il en est.
Une heure et demie de pur bonheur ! Il s'agissait d'une rétrospective de la musique italienne, pas le bel canto mais la musique populaire, de films ou de variétés des dernières décennies. Défileront les grands tubes de Mina, Celentano, Patty Pravo, Tozzi, Zucchero, Bobby Solo, Gigliola Cinquetti, Ramazzotti, Luigi Tenco, Bocelli, Jovanotti, Dalida, Ricchi e Poveri, Albano et Romina Power, Cocciante, Cutugno, Laura Pausini, Domenico Modugno, Lucio Dalla, et, bien sûr, Ennio Morricone et Nino Rota.
Bien sûr, c'est mièvre. Bien sûr, c'est guimauve. Bien sûr, c'est rengaine. Mais qu'est-ce que j'aime ! Et puis ces voix cassées !
La chanson préférée de mon ancienne voisine de Haute-Savoie, alcoolique au dernier degré et romantique plus encore.
dimanche 26 janvier 2020
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7 commentaires:
Pas fan, je l'avoue (et je ne connais que lui).
Ah si, j'avais mal lu, je connais Andrea Bocelli et Morricone bien entendu. Entendu parler aussi de Zucchero avec Pavarotti, mais je ne connais pas.
Ah je dois bien l'avouer, ce genre de choses, ça m'horripile au plus haut point !
Voix cassée ou pas, espérons que ce soit la bonne mélodie ce soir en Emilie-Romagne...
Cornus et Plume : je m'en doutais. Et je vous avais prévenu.
Jérôme : gagné. Les chants n'y seront donc pas martiaux !
Oui, bonne nouvelle ce matin ! Que les sardines continuent à frétiller !
Plume : c'est tout le bonheur que je leur souhaite.
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