Un rêve, cette nuit, comme je n'en avais jamais fait jusque-là. Plein de gens, de rires, de bruits, de couleurs. Un vrai charivari de carnaval ! J'étais dans une immense salle, un hangar plutôt, occupé par des centaines de tables dressées où étaient assis des milliers d'hommes et femmes festoyant. Venue de très loin, je vis s'approcher de moi Roselyne, une ancienne collègue, qui m'attrapa par le cou et me fit le plus tendre des bisous sur la tempe avant de repartir sans un mot. Je me souviens qu'elle sentait bon.
Réveil. Pose pipi.
A peine rendormi, le même type de rêve m'assaille. Cette fois, c'est plutôt ambiance foire, fête foraine. Toujours la foule et le bruit, les rires surtout. Deux de mes anciens collègues de gymnastique passent régulièrement devant moi à vélo et me lance une phrase que je ne comprends jamais. Ils rient eux aussi et ne se lassent pas de passer et de repasser. Et moi, je ne comprends pas, je leur souris. Je suis bien.
Je me suis réveillé en pleine forme et tout guilleret.
dimanche 26 janvier 2020
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2 commentaires:
Tu ne te rappelais pas des tableaux des fêtes de Brueghel ?
Cornus : je n'y aurais pas pensé mais peut-être. Tout de même, mes collègues n'avaient pas ces trognes ...
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