Presque tous les jours, de bonne heure le matin, je file en voiture jusqu'à un parc hors la ville dans lequel je sais exactement l'emplacement du soleil et de l'ombre à telle ou telle heure. Je m'installe sur un des rares bancs et je lis. Parfois je m'endors en piquant du nez. Maintenant je n'hésite plus à m'allonger sur ce banc et à piquer un petit somme, presque sûr de ne pas être dérangé.
Au réveil, la beauté du ciel et de la frondaison au-dessus de ma tête. Et parfois, discret, un léger souffle d'air.
10 commentaires:
Agréablement rafraîchissant ce billet …
Ces jours-ci je pense à toi souvent et je compatis. Déjà que je m'étiole dans mon donjon-bouilloire, avec seulement 28 ou 30°, je crois que je serais complètement cannée par chez toi...
Oui, cela doit être terrible par chez toi. Mon père s'en tire dans son salon avec la clim, mais en dehors de son salon, la chaleur est écrasante.
Nous avons des mais toulousains qui sont venus s'occuper du chat et un peu d'arrosage l'été dernier. Cette année, nous n'avons pas eu à leur demander, ils se sont porté volontaires. Je ne pers pas la boule, il y a un rapport avec ce que tu nous racontes 😉
amis toulousains !
Si tu pouvais dire vrai ....
Moi, je peux sans doute davantage bouger que toi, ce qui me sauve ....
Pas de clim chez moi, mais le noir toute la journée et fenêtres ouvertes la nuit (du moins celles qui ne donne pas sur les travaux de la rue !)
Je vois très bien le rapport !!!!
Compris : je fais souvent la même faute de frappe.
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