Alors, adieu les comptes : j'o, à regarder Rome en bas et ses nuées d’étourneaux dans le ciel, la sage Place du Peuple et le mont Janicule, à sentir l'effluve de la barbe à papa qu'un vendeur ambulant tend à un gamin, à écouter l'air populaire que joue un artiste des rues, à entendre la joie de la langue italienne.
Là- bas, le Palatin digère ses touristes, le Tibre attend la nuit pour s’orner de lumières et d’ombres mystérieuses, Saint-Pierre va fermer et mouettes et goélands envahir le Trastevere. Et les pins parasols se tairont du stridulement des cigales.
Arrivederci, Roma !
2 commentaires:
Comme l'appel de la forêt, mais en version urbaine romaine !
Crnus : oui, l'appel du forum ....
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