mercredi 8 juin 2016

Fenêtre sur cour

Après la nouvelle dont j'ai déjà parlé en la comparant avec le film d'Hitchcock, le livre de poche en présente cinq autres : Le Créateur, dont, hélas, on pressent la chute dès les premières pages, L'Idole des jeunes, proposant un étrange phénomène de télépathie, L'Engrenage, série de meurtres un peu outrée dont la chute, inattendue, est cette fois-ci d'un cynisme absolu.

Mais ce sont les deux autres qui m'ont le plus accroché : d'abord Le Cap triangulaire, histoire d'un philatéliste trop amoureux des timbres, et Un Plat qui se mange froid, ou comment élucider un meurtre dans un ascenseur. Dans les deux cas, c'est le grand art de Irish qui apparaît par la façon dont sont agencées ces histoires de vengeance à plus ou moins long terme. Je n'ai pas connaissance qu'elles aient jamais été adaptées pour le cinéma et c'est bien dommage car leur cruauté devrait isnpirer.

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