364: visite in extremis de deux sites de la BAC avec J. et sa femme, après un rapide repas pris chez moi. Commençons par la Sucrière, où je n'avais jamais mis les pieds. Il se confirme que j'aime beaucoup ces anciens bâtiments industriels reconvertis en centres d'expositions, comme c'est aussi le cas du Musée des Moulages dont j'ai déjà parlé. La teneur de l'expo elle-même est assez inégale mais de bonne tenue, je trouve, dans l'ensemble. Rien de fascinant (comme au Musée des Moulages, encore une fois) mais beaucoup d'œuvres intéressantes, en particulier les Cabanes d'Agnès Varda, dont l'une aux bambous remplacés par des pellicules de cinéma déroulées, la salle ronde aux milliers de photos d'identité et une sorte d'immense sphère terrestre composée d'objets de récupération de la vie quotidienne.
jeudi 31 décembre 2009
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364: visite in extremis de deux sites de la BAC avec J. et sa femme, après un rapide repas pris chez moi. Commençons par la Sucrière, où je n'avais jamais mis les pieds. Il se confirme que j'aime beaucoup ces anciens bâtiments industriels reconvertis en centres d'expositions, comme c'est aussi le cas du Musée des Moulages dont j'ai déjà parlé. La teneur de l'expo elle-même est assez inégale mais de bonne tenue, je trouve, dans l'ensemble. Rien de fascinant (comme au Musée des Moulages, encore une fois) mais beaucoup d'œuvres intéressantes, en particulier les Cabanes d'Agnès Varda, dont l'une aux bambous remplacés par des pellicules de cinéma déroulées, la salle ronde aux milliers de photos d'identité et une sorte d'immense sphère terrestre composée d'objets de récupération de la vie quotidienne.
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1 commentaire:
Ah, la thérapie du "jeune homme plaisir des yeux dans un cadre assez chic" : Freud aurait dû y penser plus tôt... ;-D
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