dimanche 12 octobre 2025

Pour avoir une idée ....

 





Annie Hall, si vous préférez ...

;table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;">Diane Keaton (1946 - 11 octobre 2025)

samedi 11 octobre 2025

L'énigme enfin résolue

Lors de son article intitulé "Juillet 2025, 3", concernant Chapaize et Notre-Dame-de-Lys  à Chissey-lès-Mâcon, Je promettais à Cornus la révélation d'un mystère. Le jour en est arrivé (j'avais oublié depuis).

Lors de mon séjour à Sennecey-le-Grand (plus exactement à Laives), je fis un certain nombre de visites d'églises romanes accompagné mais également certaines et solitaires. Et c'est le jour où mon appareil photos eut l'idée de faire des siennes (en me demandant de préciser la date : jour, mois, année.). Je passai outre puisque cela ne m'empêchais pas de prendre des photos). J'eus, hélas, en chargeant mon disque dur d'ordi, de ne plus retrouver ces photos ! J'ignore pourquoi. J'ai râlé et puis j'ai oublié.

Et voila que Cornus me montre N-D-de-Lys. Le nom de Chissey ne me dit rien du tout, le mot Lys me chatouille, les photos finissent de me réveiller. Bien sûr que je suis allé à N-D-de-Lys. Je suis tombé là un peu par hasard et le hasard a bien fait les choses car ce fut ce jour-là mon coup de cœur du séjour. 

Je ne dis pas que ce fut la plus belle de mon voyage, ni la plus grande, ni la plus imposante ou la plus riche.  Bien an contraire : elle est tout simple, avec tout un côté de la nef en mur aveugle, son état de conservation est moyen, Mais j'ai aimé, entre autres, son calme, sa sérénité, sa charpente et .... son clocher. 

Notre-Dame-de-Lys (XIIe s.) à Chissey-les-Mâcon  a été édification au XIe siècle par les moines bénédictins de l'abbaye Saint-Philibert de Tournus.



vendredi 10 octobre 2025

Deux lumières

Quelques jours passés chez Emile à Aix-les-Bains. Mission Attila ! C'est-à-dire taille, coupe, arrachage, etc ... Sans oublier un petit tour à la fruitière pour faire provision de fromages locaux. Mais j'ai aussi rapporté de belles courbatures. Il est plus tout jeune, l'Attila !



Gratuité du premier dimanche du mois

Pour ceux qui ne le savent pas, le Musée gallo-romain de Fourvière, que certains appellent Lugdunum,  est gratuit tous les premiers dimanches du mois. Je le connais par cœur, depuis le temps (il a cinquante ans), mais il y a toujours de nouvelles expos temporaires. Et aussi de nouveaux objets exposés. 

L'actuelle s'intitule L'Art chez les Romains. La relation des Romains avec l’art s’explique en partie par la dynamique d’expansion territoriale de Rome dès la fin du 3e siècle avant J.-C. et les interactions avec d’autres cultures. Des conquêtes qui s’établissent aussi sur le plan culturel avec la constitution au fil des années d’un art romain qui emprunte à d’autres cultures, en particulier grecque. 

L'escalier que j'aime toujours autant












Un sarcophage d'enfant en plomb

Four




Masque funéraire d'une enfant






Hercule

Vénus





Le masque de l'araignée

Un roman qui m'a réconcilié avec le polar. Une histoire d'enlèvement de deux enfants de familles différentes mais toutes les deux riches et connues. Un détective noir, Alex Cross et son vieux copain Sampson essaie de débrouiller tous les fils de cette toile d'araignée qui conduisent tous à un dangereux psychopathe. 

Ca se dévore !

(James Patterson, Le Masque de l'araignée. Ed. J-C. Lattès. Trad de Jeanine Parot.)

dimanche 5 octobre 2025

Retour aux sources (5)

 Saint-Etienne :

Puis, nous regagnâmes la Grand'Rue et la descendîmes redescendîmes vers le nord jusqu'à la place Carnot. Peu de souvenirs intimes dans ce coin-là, si ce n'est le cinéma (aujourd'hui disparu) de la place de l'Hôtel-de-Ville et la Cathédrale st-Charles où je fis ma communion (de fort mauvaise humeur : ma mère m'avait fait tailler le costume sur mesure et je ne voulais plus le prendre pour les Vêpres !)

Place de l'Hôtel-de-Ville (son dôme fut détruit en 1952 par un incendie)

Allégorie de  La Métallurgie (1872, l'autre étant la Rubannerie) par le sculpteur stéphanois Étienne Montagny 

Place Marengo (Jean-Jaurès). Au fond, la préfecture de la Loire


Buste de José Frappa

Sue la façade de la préfecture, le "Pays des Ségusiaves". 

De Vivie, dit Vélocio (la course cycliste portant son nom,  de
St Etienne au col du Grand Bois existe depuis 1922)

La Grand' Rue, direction le sud

La Place Carnot et sa gare (2 photos)



Jules Janin (écrivain et critique dramatique)


samedi 4 octobre 2025

Retour aux sources (4)

 Saint-Etienne :

Suite à l'accroissement de la population stéphanoise à laquelle ne suffisait plus la paroisse primitive de la Grand'Eglise, l'édifice est construit au XVIIe siècle dans le bourg de Chavanelle, aujourd'hui quartier de Saint-Étienne. L'église est consacrée le 8 décembre 1669 sous le vocable de l'Immaculée Conception de la Sainte Vierge. Profondément remaniée au fil des siècles, l'église est ornée d'une façade de style dit " jésuite " 

L'église est de style baroque, avec une nef centrale unique et des chapelles latérales, qui ont été transformées en nefs latérales en 1860. 

Les orgues historiques construites par Joseph et Claude-Ignace Callinet en 1837 sont célèbres et classées monuments historiques en 1976.

. L'église actuelle possède une chaire à prêcher en bois sculpté par Claude Désiré en 1693. Le clocher abrite un carillon composé de 10 cloches dont 2 du fondeur Ducray datées de 1733. A la Révolution, l'église est transformée en temple de l'Etre Suprême et le culte catholique est abandonné jusqu'en 1803. 

La façade est refaite de 1859 à 1862 pour cause de vétusté. Les travaux sont conduits par l'architecte de la ville Gérard. Joseph Fabbish est le sculpteur de la Vierge de pitié installée dans l'abside de la nef latérale droite.

Mon souvenir : une luminosité exceptionnelle qui contraste avec les ombres de la Grand'Eglise. 










En redescendant sur le square Violette où je prenais la car pour rentrer dans mon village, il y avait autrefois, face à la grand'poste, le syndicat d'Initiative où, avec Yvon, nous allions subtiliser des documents touristiques que nous faisions ensuite semblant de corriger comme les copies d'élèves. Déjà la bosse de l'enseignement. Ce petit bâtiment a disparu mais j'ai découvert ces vieilles bâtisses sans doute à l'époque cachées à l'époque.

Au bas de la rue qui débute à la statue de la dernière photo, il y avait notre bar préféré, à Yvon et à moi. En hommage à la chanson, on l'appelait "Chez Lorette". On y était si bien ....