- A quoi sert de se battre ? Je ne sais pas.
- A quoi sert de souffrir ? Je ne sais pas.
- A quoi sert d'espérer ? Je ne sais pas.
- A quoi sert que s'opposent l'éthique et l'affectif ? Je ne sais pas.
- A quoi sert de croire en quelque chose ? Je ne sais pas.
- A quoi sert de se révolter ? Je ne sais pas.
mardi 10 septembre 2013
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7 commentaires:
Tout cela sert à vivre ! Excepté la souffrance dont on ne tire aucun enseignement, jamais !
Cela doit nécessairement servir à quelque chose de temps en temps, mais on ne le sait jamais au bon moment.
Toutes mes (nos) amitiés, mon cher Calyste.
Savoir, ou reconnaître, qu'on ne sait pas c'est quelque chose. Quelque chose de rare et de difficile.
Bises aussi, ami Calyste.
daniel : tu as sans doute raison;
Cornus : Merci à toi et à Fromfrom
Plume : sais-tu que mes élèves me disaient que j'étais un des rares profs à leur dire parfois "je ne sais pas" ? Bises, Plumette
Je suis d'accord avec toutes tes réponses... Sauf la dernière !
Bises.
Calyste > Moi aussi je disais parfois "je ne sais pas, je vais chercher" à mes élèves, même aux maternelles, et plus tard aux adultes, et beaucoup m'en ont remerciée ! Si j'ai au moins pu leur apprendre ça je n'ai pas raté ma vie de prof.
Petrus : tu penses bien que moi non plus !
Plume : certains ne comprenaient pas, mais la plupart me rendaient grâce pour mon honnêteté. Et puis, un peu de doute n'a jamais fait de mal à personne.
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