lundi 24 juin 2024

Jura 2024 (13)

Jeudi 13 juin (1) :

Et pourquoi pas les fleurs de Château-Chalon ?





C'est à vous

A vous, si cela vous dit, de mettre sous cette photo un titre, une phrase ou un petit texte qu'elle vous aurait inspiré. (Vous pouvez l'agrandir en cliquant dessus.)


Jura 2024 (12)

Mercredi 12 juin (2).

L'après-midi, nous suivons un temps un chemin de randonnée, entre La Marre et Chaumois-Boivin, où, paraît-il, se trouve de vieilles cabanes de bergers en pierres sèches. Et nous en trouvons quelques-unes accessibles (les autres nous auraient obligés à traverser des prés non encore fauchés). 

















Jura 2024 (11)

Mercredi 12 juin (1) :

Ma sœur s'étant, avant de partir, tordu la cheville, nous nous rendons à Lons-le-Saunier pour qu'elle rencontre un ostéopathe qui a eu la bonne idée de s'installer en lisière du jardin des Thermes. En l'attendant, j'effectue mon pèlerinage sur les lieux de la révélation de mon identité sexuelle. 







La colonie (un lycée du bâtiment, il me semble) où j'ai résidé il y a si longtemps n'existe plus (remplacée par des immeubles), je le savais déjà depuis un précédent voyage. J'ai mis un pied dans les Thermes et bavardé avec une employée fort sympathique. Qu'ai-je éprouvé ? Honnêtement pas grand chose. Tout cela est si loin ....

dimanche 23 juin 2024

La chanson d'amour du dimanche

Derrière le paravent

Encore un polar avalé en moins de deux, même si déroutant. En effet, l'auteur s'inclut dans la narration, comme s'il accompagnait "physiquement" ses personnages. Ce qui permet une dose d'humour fort bienvenue. Exemple, à la fin, lorsque le sergent Sarti Antonio risque de se faire abattre : "Le moment est venu de le saluer. Que lui dire ? Que ç'a été un plaisir de rester à ses côtés pendant tout ce temps. L'expression n'est pas très heureuse. Alors quoi ? Bon voyage. Mais pour où ?".

Un polar donc qui ne se prend pas au sérieux. 

(Loriano Macchiavelli, Derrière le paravent. Ed. Métailié Noir. Trad. de Laurent Lombard.)

Jura 2024 (10)

Mardi 11 juin (2) :

La messe de funérailles terminée, nous entrons dans l'église Saint-Lothain (XI° et XII° siècles). Elle est construite sur une crypte de la fin du X° siècle renfermant le sarcophage mérovingiens dit de Saint Lautein. Vers le premier quart du XVIIIe siècle, la voûte en ogive remplace une ancienne charpente de bois. Le clocher comtois, porte au fronton la date de 1716.