mardi 10 septembre 2013

Je ne sais pas

-  A quoi sert de se battre ? Je ne sais pas.
-  A quoi sert de souffrir ? Je ne sais pas.
-  A quoi sert d'espérer ? Je ne sais pas.
-  A quoi sert que s'opposent l'éthique et l'affectif ? Je ne sais pas.
-  A quoi sert de croire en quelque chose ? Je ne sais pas.
-  A quoi sert de se révolter ? Je ne sais pas.
à

7 commentaires:

  1. CHROUM-BADABAN10 septembre 2013 à 20:35

    Tout cela sert à vivre ! Excepté la souffrance dont on ne tire aucun enseignement, jamais !

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  2. Cornus10 septembre 2013 à 20:37

    Cela doit nécessairement servir à quelque chose de temps en temps, mais on ne le sait jamais au bon moment.
    Toutes mes (nos) amitiés, mon cher Calyste.

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  3. plumequivole10 septembre 2013 à 21:50

    Savoir, ou reconnaître, qu'on ne sait pas c'est quelque chose. Quelque chose de rare et de difficile.
    Bises aussi, ami Calyste.

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  4. Calyste11 septembre 2013 à 00:06

    daniel : tu as sans doute raison;

    Cornus : Merci à toi et à Fromfrom

    Plume : sais-tu que mes élèves me disaient que j'étais un des rares profs à leur dire parfois "je ne sais pas" ? Bises, Plumette

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  5. Petrus11 septembre 2013 à 05:37

    Je suis d'accord avec toutes tes réponses... Sauf la dernière !
    Bises.

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  6. plumequivole11 septembre 2013 à 10:49

    Calyste > Moi aussi je disais parfois "je ne sais pas, je vais chercher" à mes élèves, même aux maternelles, et plus tard aux adultes, et beaucoup m'en ont remerciée ! Si j'ai au moins pu leur apprendre ça je n'ai pas raté ma vie de prof.

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  7. Calyste11 septembre 2013 à 19:14

    Petrus : tu penses bien que moi non plus !

    Plume : certains ne comprenaient pas, mais la plupart me rendaient grâce pour mon honnêteté. Et puis, un peu de doute n'a jamais fait de mal à personne.

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