Pour changer ...

Je vous propose ce petit jeu : saurez-vous reconnaître ces excipits (dernières lignes) de romans célèbres ?

- 1 : Il n’avait d’ailleurs aucune rupture de vertèbre à la nuque, et il était évident qu’il n’avait pas été pendu. L’homme auquel il avait appartenu était donc venu là, et il y était mort. Quand on voulut le détacher du squelette qu’il embrassait, il tomba en poussière.

- 2 : C’est ainsi que nous avançons, barque à contre-courant, sans cesse ramenés vers le passé.

- 3 :Il était ridé, sa peau était desséchée et son visage repoussant. Ce n’est que lorsqu’ils eurent examiné ses bagues qu’ils le reconnurent.

- 4 :Patricia se mit à pleurer comme l’eût fait n’importe quelle petite fille, comme n’importe quel enfant des hommes. Et les bêtes dansaient.

 - 5 : Mme de Rénal fut fidèle à sa promesse. Elle ne chercha en aucune manière à attenter à sa vie ; mais, trois jours après Julien, elle mourut en embrassant ses enfants. 

-6 :  Dire que, quand nous serons grands, nous serons peut-être aussi bêtes qu'eux.

- 7 : La vie, voyez-vous, ça n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croit.

- 8 : Le grincement des clefs tournées et des verrous repoussés ne fut plus pour lui qu'un bruit suraigu de porte qui s'ouvre. Et c'est aussi loin qu'on peut aller dans la fin de Zénon.

- 9 : Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine.

- 10 : Si je range l'impossible salut au magasin des accessoires, que reste-t-il ? Tout un homme, fait de tous les hommes et qui les vaut tous et que vaut n'importe qui.