Le bon point photographié plus bas, je l'ai trouvé dans un vieux bouquin récupéré à la bibliothèque de rue de la place Guichard. Je l'ai pris, sachant pertinemment qu'il ne devait pas intéresser grand monde.
Il s'agit de la correspondance (1905-1914) entre Jacques Rivière et Alain-Fournier, deux auteurs prometteurs qui, tous deux, n'auront pas le temps de vieillir. On connait Alain-Fournier par Le Grand Meaulnes , aujourd'hui un classique que, je n'ai pas peur de le dire, ne m'a pas passionné. Jacques Rivière est beaucoup moins connu aujourd'hui. Il fut pourtant un des dirigeants importants de La Nouvelle Revue Française (NRF).
Je compte bien lire cette correspondance un de ces jours.
lundi 11 février 2019
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7 commentaires:
Moi, je veux bien un bon point ! :-)
Cornus : quand tu auras récité ta leçon par cœur....
C'est fait Calyste ! :-)
Moi dans le Grand Meaulnes tout m'a enchantée, y compris la couverture du bouquin (1ère parution en Poche) !! Lu très jeune.
Quant à la correspondance dont tu parles, figure-toi que je l'ai lue !!!! En fac, avec celle d'Antonin Artaud, mais j'avoue que je ne me souviens de rien...
Cornus : je te l'envoie tout de suite, ou alors, demande à Fromfrom : elle doit bien en avoir un qui traîne.
Plume : il arrive parfois que j'aie des désamours inhabituels. En revanche, oui, la couverture du poche me plaisait beaucoup aussi. Dommage que tu ne te souviennes pas pour la correspondance, ça m'aurait guidé.
Je dois l'avouer, c'était une de ces lectures de type utilitaire, que l'on fait à marche forcée en période d'examen ou d'exposé...et qu'on prend soin d'oublier très vite. Encore que parfois on y fait de belles découvertes, mais là sans doute ce ne fut pas le cas.
Plume : merci. Je te dirai ce que j'en pense quand je l'aurai lu.
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