Surprise en ouvrant mes volets hier matin : le toit du hangar dans la cour était couvert de neige ! Bien sûr, j'en ai déjà vu à Lyon, mais pas si souvent que ça. Et comme d'habitude, dans ces cas-là, côté rue, un relatif silence. Non que l'on ne puisse pas circuler mais la plupart des gens préfèrent alors les transports en commun.
Et ma sœur, qui n'a pas de voiture, s'est fait avoir. Le bus qu'elle a pris s'est arrêté deux ou trois arrêts plus loin, la conductrice préférant rentrer au dépôt tout proche en prétextant du danger de rouler dans ces conditions. Et là, c'est se foutre du monde ! Va encore, je peux comprendre pour ceux qui montent à la Croix-Rousse ou à Sainte-Foy : quand je travaillais, j'en ai vu en travers quelque matin. Mais là, dans la plaine, en centre ville, faut pas pousser ! D'autant que les rues ayant été probablement salées en prévention, elles n'étaient couvertes que d'une sorte de bouillasse et pas du tout de verglas.
Quand on rajoute à ça, les nombreux incidents sur les lignes de métro, on ne s'étonne plus que les gens préfèrent leur voiture pour circuler.
mardi 19 décembre 2017
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5 commentaires:
Mais quelle épaisseur de neige ? En tout cas cette histoire de bus est du foutage de gueule. Encore quelqu'une partisane du moindre effort.
Cornus : quelques centimètres seulement mais elle est restée toute la journée sur les toits. En tout cas, pas de quoi ne pas circuler.
Quand j'étais plus jeune (mettons avant 19 ans), par chez nous, il fallait des épaisseurs de neige supérieures à 15-20 cm de neige pour qu'il y ait véritablement des problèmes de circulation. Nous aussi, lundi de la semaine dernière, 5-7 cm ont tout bloqué : pas d'école dans le public l'après-midi et le lendemain et pas de transports scolaires le lendemain alors qu'il n'y avait plus rien sur les routes (et que la météo avait dit que c'était fini).
En fait, pas de sel sur les routes qui n'a pas été répandu (officiel), pas de bus puisqu'ils ont été rappelés aux dépôts, des kilomètres de bouchons (au moins une dizaine autour de chez moi), des rues bloquées par des voitures patinant sur la glace et la neige tassée, des temps de trajets plus que doublés, des voitures dans le fossé, des piétons se cassant la bobinette sur les trottoirs glissants. Certes, le centre de Lyon était plus roulable que le reste de l'aglo.
Rien de bien nouveau quand la neige est là.
Je me suis aussi pris une boule de neige lancée par les collégiens. Vraiment, rien de nouveau.
(Désolé pour les parenthèses et les coquilles).
Bises, J.
Jahovil : pour les boules de neige, je me méfiais toujours dans la cour du collège, mais ils n'ont jamais osé...
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