A vous, si cela vous dit, de mettre sous cette photo un titre, une
phrase ou un petit texte qu'elle vous aurait inspiré. (Vous pouvez
l'agrandir en cliquant dessus).
vendredi 26 octobre 2012
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8 commentaires:
Quel oeil, Calyste, toujours ! On dirait que les objets se donnent le mot pour se mettre en scène quand ils te voient arriver. Ils doivent savoir qu'ils seront bien traités.
La contrebasse
Est lasse,
Elle se pose
Un moment.
Son archet
S'est caché,
Il est bien peu de chose.
Car le contrebassiste
N'en peut plus d'être triste
Il veut tourner la page
Définitivement,
Sous le pavé, la plage...
A Moscou avec D. ils ont allés marcher sur Arbatt. Une rue piétonne comme toutes les rues des capitales du ;onde. Lui, il avait juste mis par terre sa contrebasse. Puis il est parti un peu plus loin pour dire un mot a Lemoqueur. A Paris, ou a Lyon. Mais Moscou, non, je peux plus.
La Plume: j'ai pris cette photo à Rome, sur le Campo dei Fiori, cet été. Je n'ai vu que ça à ce moment-là.
PP: j'aime le son de la contrebasse et du violoncelle. Celui de la clarinette et du hautbois aussi. J'aime particulièrement quand, avant le début du concert, tous les instruments s'accordent.
Didier: A Rome, les contrebasses sont encore belles et elles résonnent en moi, même silencieuses.
Cordes fatiguées battant le pavé.
Cornus: ah! tu trouves? Moi, j'y vois au contraire plein de vie, de promesses de bonheur.
Ce qui me fait dire ça, c'est le violoncelle un peu abîmé et déposé directement sur le sol.
Cornus: mais "l'art" transfigure tout! :-)
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