Je rentre des corrections du brevet. Prévues sur deux jours, faites en un. Il faut dire qu'ils ne nous ont pas assommés cette année: 28 copies et un seul prof convoqué absent. Six heures et demie de travail, soit un peu moins d'un quart d'heure par copie.
Ils s'en sont plutôt bien tirés, les petits. Quoique, pour rater ça, il faut être bien godiche maintenant! La dictée était extraite de Zola et le texte pour les questions et la rédaction de Michel Tournier: une histoire de calife qui, à la mort de son cuisinier, décide d'en embaucher un autre et de confronter deux candidats qui lui présentent....les mêmes plats.
Quelques perles par ci par là pour agrémenter la journée( "les yeux démesurément ouverts" devenu "les yeux démesurément tout verts", le calife transformé en "canif", ...) et puis d'heureuses trouvailles: "les étagères étaient encombrées de lampes à génie, mais qui semblaient vides" ou cet élève qui, pour respecter l'exotisme du texte d'origine, fait venir un des cuisiniers du village de Toulaba!
Mais il faudra expliquer à beaucoup que la cour n'est pas seulement un endroit où passer les récréations mais aussi l'entourage d'un souverain!
Donc, si je compte bien, deux jours de repos avant le galop final de jeudi!
lundi 2 juillet 2012
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3 commentaires:
Vivement jeudi soir alors... et vendredi soir pour moi.
Bon, ben moi dimanche je pars bosser jusqu'au 14. Je fais tout à l'envers !
Cornus: des projets de vacances?
La Plume: Tu me rappelles une émission de José Arthur (je crois) sur France Inter: "Qu'il est bon de ne rien faire quand tout s'agite autour de vous!".
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