Lorsque je suis rentré, hier, Jean-Claude était encore là, couvert de poussière blanche de la tête aux pieds: il avait poncé un des petits halls et le couloir. Toujours déprimant, ce moment-là: pour lui, parce que ce n'est pas une tâche très intéressante; pour moi, parce que l'on n'a pas l'impression que le travail avance. Dès que l'on passe à la peinture, c'est autre chose. Résultat: j'ai consacré ma journée, sans profiter du soleil et de la chaleur, à préparer ma semaine de cours, à corriger des copies et à nettoyer tout ce que je pouvais dans les grandes lignes. Voir les meubles si sales par ce beau temps n'a rien d'enthousiasmant.
Sorti aussi les plantes sur les balcons. Elles font un peu rachitiques, avec leur couleur vert pâle et leur grandes tiges maigrichonnes que j'ai taillées pour les rendre plus présentables et leur redonner un peu de vigueur. Quelques-unes n'ont pas résisté à l'hiver. J'ai fait le tri. Les rescapées ont eu droit à un peu d'engrais. La glycine promet, cette année. Quant au bougainvillée, il n'est encore que bâtons qui semblent secs. Mais je le connais: il n'est pas rapide.
Là dessus, mon ordinateur joue à me faire des frayeurs. Hier, c'était la nouvelle sourie sans fil qui refusait obstinément de fonctionner. Aujourd'hui, c'était le clavier qui restait inopérant. Heureusement que Stéphane est là pour me donner quelques conseils. Tout est maintenant rentré dans l'ordre. Mais il faudra sans doute que je pense rapidement à sauvegarder mes fichiers sur mon disque dur externe et à changer d'ordinateur. Le mien, avec la technologie d'aujourd'hui, commence à se faire vieux.
samedi 2 avril 2011
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6 commentaires:
Ah, le poncage des produits au plâtre, c'est une horreur absolue, la poussière va partout et ne s'en va pas facilement.
Le jardin, je m'y suis un peu "abandonné" ce matin, quel plaisir. Là aussi, certaines plantes vivaces (hémicryptophytes) n'ont pas passé l'hiver alors même qu'il a été moins rigoureux que l'an dernier. Nous avons voulu aller à la pépinière pour acheter des Pelargoniums et des Surfinias, mais il n'y en avait pas encore (nous sommes trop optimistes compte tenu du beau temps). Et à la jardinerie, il y en avait, mais ne nous plaisaient pas.
Cornus: et c'est loin d'être fini. Nous voulons aussi, ensuite, abattre une cloison.
Une cloison ? laquelle ? celle entre le salon et la salle à manger ? ce n'était pas une arcade ?
Tu sais que pour avoir le droit de laisser ce commentaire (celui qui précède) j'ai dû me battre 20 minutes avec Blogspot qui m'OBLIGEAIT à créer un blog si je voulais avoir le droit de déposer un message ici ? J'ai tout essayé et finalement j'ai craqué et créé, pour leur faire plaisir, un faux blog, qui restera vide. Là, maintenant ça passe. Ce qu'il faut pas faire !!! Faudrait leur dire qu'ils poussent un peu, non ????
Lancelot: alors là, je ne comprends pas! Encore un mystère de l'informatique!
Lancelot: autre mystère de l'informatique: je ne parviens pas au billet de ton précédent commentaire et mon ordinateur revient sans cesse à celui-ci. Mais la réponse est oui: il s'agit bien d'une arcade.
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