Un kir (deux?), une simple soupe de poisson, avec rouille et croutons, une meringue au chocolat. Dehors, le froid. La chaleur du salon et de la complicité, à partager des cigarettes. Un café bouillant, il est déjà l'heure de repartir. Le blanc du pull irlandais disparaît sous le manteau noir. La pause est finie. Nous nous reverrons vendredi.
Les instants en hiver ont parfois des parfums d'éternité
RépondreSupprimerNicolas: tu as fort bien compris ce que je ne dis pas.
RépondreSupprimerTendresse. En effet.
RépondreSupprimerGeorges: et chaleur.
RépondreSupprimer