Je croyais que Giuseppe Tomasi di Lampedusa était l'homme d'un seul livre (et quel livre !) :
Le Guépard. Et puis j'ai trouvé
Le Professeur et la sirène, ouvrage hybride, entre autobiographie (
Les Lieux de ma première enfance), premier chapitre d'une suite au Guépard, suite jamais écrite (
La Matinée d'un métayer), petite nouvelle assez drôle (
Le Bonheur et la loi) et nouvelle fantastico-réaliste (
Le Professeur et la sirène). Recueil hybride donc mais passionnant. Je n'oublierai pas de sitôt le début du premier chapitre des
Lieux de ma première enfance consacré à la restitution par la mémoire des souvenirs anciens.
(Giuseppe Tomasi di Lampedusa, Le Professeur et la sirène. Ed. du Seuil. Trad. de Louis Bonalumi.)
ah ça a l'air bien ! La fin du Guépard aborde, de mémoire justement, la transformation des souvenirs
RépondreSupprimerJérôme : je ne sais pas s'il est encore édité (je l'ai trouvé en poches chez Emmaüs).
RépondreSupprimerje l'ai commandé chez le libraire "du coin".
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