C'est chaque année la même chose: je râle lorsque, pendant les vacances, les émissions de radio que j'aime et que je ne peux que rarement écouter (puisque je suis en général au travail à l'heure où elles passent) disparaissent pour faire place aux grilles d'été, et je râle lorsque, à la fin de ce même été, ces émissions temporaires cessent à leur tour pour en revenir aux traditionnelles. Ainsi, c'en est fini des petits moments à écouter Jean-Bertrand Pontalis, de ceux où Marcel Ophüls évoquait son "cinéma" et celui de son père Max, des balades dans l’œuvre et la vie de Barbara, et de tous ces mini-cailloux précieux ("pépites", comme ils disent) qui ont si agréablement parsemé les chemins de mon été.
Alors? Faut-il que j'arrête de râler?
N'arrête surtout pas de râler, c'est bon pour la santé, et puis il y a trop de gens qui se taisent et avalent toutes les couleuvres. (bon, on peut comprendre, difficile d'éructer en essayant de faire descendre la couleuvre!)
RépondreSupprimerSacré(s) Français!
RépondreSupprimerArrêter de râler ? Ben surtout pas, parce que cela donnerait des complexes à ceux qui veulent en faire autant.
RépondreSupprimerMais un peu de patience, le futur retraité pourra écouter la radio à son aise, sauf si elle sombre davantage dans la médiocrité d'ci là.
Ah mais non ! Faut jamais arrêter de râler. Même si tu ne sais pas pourquoi, ceux contre qui tu râles, eux, le savent!
RépondreSupprimerLa Plume: je crois que j'en serais encore capable!
RépondreSupprimerJérôme: ben oui!
Cornus: sûr! mais je compte bien faire aussi des tas d'autres choses!
P.P: ça me rappelle l'homme qui bat sa femme...
Chère Plume, bien sûr, c'est calqué !
RépondreSupprimerP.P: voilà que tu m'appelles Plume, maintenant!!!
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