Il y avait là quatre compagnons pour faire appliquer la jauge de visiteurs : le petit péruvien qui, pour me faire rire, baisse son masque et imite le "cri" du lama ; le français , un colosse à la jambe de bois ; l'arménien, sérieux et serviable ; le noir souriant (je ne connais pas sa nationalité), toujours prêt à rire. Malgré le masque, ils me reconnaissent maintenant et nous bavardons quand il n'y a pas trop de monde. Il y a longtemps que je les avais pas vus tous réunis. La belle équipe ! Un plaisir qui se rajoute à celui de fouiner dans les livres.
C'est sympa, tu connais tout le monde.
RépondreSupprimerEmmaüs c'est vraiment bien pour ceux qui y oeuvrent et pour ceusses qui y passent !
RépondreSupprimerCornus : pratiquement. Au moind ceux qui ont affaire au public.
RépondreSupprimerChroum : ma sœur me dit que, dans ceux qui y passent, il y en a quelques-uns pas sympas du tout. Mais ils sont rares.