Pas de mot ce soir. Pas de mot long. Je viens d'éteindre la télévision. Quelque chose m'y avait attiré, quelqu'un, quelques-uns. Une voix, un visage, Sami Frey. Moi aussi, je l'aime. Je le dis à celle qui se reconnaîtra et qui me fait tant plaisir quand elle me parle, même si elle est fatiguée des mots. Ne le sois pas, amie: les mots sont nos amis. Ceux que l'on dit, ceux que l'on lit, n'en sont que l'écorce. Leur âme palpite en dessous dans ceux que l'on tait. Je t'embrasse.
Un inculte aussi, comme tu dis l'être.
Ces mots sont comme une caresse sur mon âme un peu flétrie. Indicible sentiment. Je reçois ce message comme une grâce. Quant à Samy, Dieu qu'il était beau. Il l'est encore. Dommage que dans ce rôle il soit si jaloux et presque stupide. La journée sera belle. Tu le sais, nous avons la même météo.
RépondreSupprimerAh tiens, nous avons regardé le même film. Hier soir j'avais une télé sous la main, et les choses étaient bien faites. Ce film magnifique, un docu-fiction sur Palestrina qui m'a donné des idées, et uné émission très rigolote sur la masturbation. Quelle soirée ! Je ne regrette pas de devoir aller nourrir chat et chien en l'absnce de mon frère !
RépondreSupprimerC'est vrai, Anna, qu'il est stupide mais, avec des yeux pareils, on est prêt à pardonner....
RépondreSupprimerJe voulais aussi regarder Palestrina, Karregwenn, mais le matin, il faut se lever!