samedi 8 novembre 2025

Addendum aux griefs (2)

Que ce soit à la mer ou à la piscine (surtout), je doute toujours de la propreté physique qui m'entourent. J'ai toujours impression de patauger dans un bouillon de culture. Et j'ai des preuves : une verrue plantaire attrapée lors de mon unique passage à la piscine du Rhône, à Lyon. L'autre preuve, je ne sais pas si je vous en parle tant ça m'avait dégoûté. Du côté de la Grande Motte. Une tasse avalée. Le lendemain, une drôle de ficelle dans mes celles. Il s'agissait d'un reste de tampon féminin (le este s'était décomposé ...). 

Alors, la baignade : à d'autres ! (Et puis, j'ai du mal à supporter les slips de bains (et je ne peux pas me baigner n'importe où à poil, sauf dans ma baignoire ...)



2 commentaires:

  1. Un peu gros le coup de la ficelle dans les fèces, non ?

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  2. Personnellement, les fois où je suis allé à la piscine, je n'ai rien constaté de choses qui n'auraient pas été hygiéniques. Or, il fut un temps (1992-1993) où j'allais jusqu'à deux fois à la piscine par semaine, le soir après 20 heures, à côté de Tours. C'était pour des entrainements pour la plongée. C'était sympa d'ailleurs, même si cela avait fini par me lasser.
    Et je ne sais pas ce qu'est une verrue plantaire ni une quelconque autre verrue d'ailleurs...

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