Une de mes élèves de seconde dans les années soixante-dix, alors que nous étudiions un poème, m'avait confié ce que lui avait dit une de ses anciennes profs à propose de Verlaine et Rimbaud : "Tous les deux étaient de grands malades !"
Inutile de préciser que, outré, j'avais rectifié le tir !
On ne peut pas résumer leur histoire avec des propos aussi simplistes. Mais outre le rejet officiel de l'homosexualité et des conséquences que cela pouvait avoir, il y avait aussi l'alcoolisme... et des personnes habitées par leur art. Pas simple... Une chose est en revanche évidente : deux poètes majeurs.
Cornus : ce qui m'avait choqué dans ces propos, outre le parti pris de cette enseignante, c'est que j'ai toujours considéré mon métier comme celui d'un serrurier : ouvrir des portes, pas les fermer. Après, à chacun de se faire un avis.
Plume : quelques poèmes de l'un ou de l'autre mais la poésie n'est, en général, guère mon truc.
On ne peut pas résumer leur histoire avec des propos aussi simplistes. Mais outre le rejet officiel de l'homosexualité et des conséquences que cela pouvait avoir, il y avait aussi l'alcoolisme... et des personnes habitées par leur art. Pas simple... Une chose est en revanche évidente : deux poètes majeurs.
RépondreSupprimerAïe je vais avouer mon crime de lèse-poète majeur, je n'ai jamais accroché ni à l'un ni à l'autre. On me pardonne ?
RépondreSupprimerPlume> Non, tu iras rôtir en enfer direct ! 😈😈😈
RépondreSupprimerCornus > Ça tombe bien, ici je caille à mort ! :)
RépondreSupprimerCornus : ce qui m'avait choqué dans ces propos, outre le parti pris de cette enseignante, c'est que j'ai toujours considéré mon métier comme celui d'un serrurier : ouvrir des portes, pas les fermer. Après, à chacun de se faire un avis.
RépondreSupprimerPlume : quelques poèmes de l'un ou de l'autre mais la poésie n'est, en général, guère mon truc.