Mon Dieu, ce que ce titre peut être cucul ! Le livre, lui, ne l'est pas, heureusement. Plus d'Erlandur, ici, mais Konrad, un policier à la retraite et particulièrement seul. Le portrait psychologique est alors plus poussé, la personnalité dévoilée de façon plus crue. Certains pensent à Simenon. Ça ne m'a pas sauté aux yeux. Mais l'intrigue est noire et captivante.
( Arnaldur Indridason, ce que savait la nuit. Ed. Métailié. Trad. de Eric Boury.)
Tu préfères le titre dans la langue originale ? Myrkrið veit
RépondreSupprimerBon, c'est juste pour blaguer bêtement, le sens est à peu près le même.
C'est toujours difficile à trouver un bon titre, j'en sais quelque chose...
Plume : j'ai cherché à le traduire sans résultat valable.
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