Ce chemin creux avait des rebords terreux et nous nous y amusions souvent, loin de la route (où, de toute façon, il devait passer trois ou quatre voitures par jour). Nous n'avions pas beaucoup de jouets mais je me souviens de quelques cow-boys et indiens en plastique, aux couleurs criardes, que nous jouions à cacher dans les parois terreuses de ce chemin. Les règles du jeu, je les ai oubliées mais je sais que cow-boys et indiens étaient, dans ce jeu-là, sur un pied d'égalité. Et moi, ce que j'aimais par dessus tout, c'était de gratter la terre sèche !
C'est de là que vient ton intérêt pour les westerns ! 😊
RépondreSupprimerCornus : Peut-être, et toute ma compassion pour les indiens ....
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