Quelques mots sur le temps qu'il fait, les orages qui ont fait remonter la chaleur du bitume (je n'ai compris que par les gestes qu'il joignait à la parole) et puis, sans transition, il s'est mis à parler des méchants. Y avait-il, derrière, une allusion aux dernières élections et aux 12, 33 % de l'extrême droite en Rhône-Alpes? Je l'ai rassuré par une phrase définitive : "Les méchants sont des cons.". Sa compagne, que je n'avais jamais vue, m'a souri. Deux jeunes qui passaient à ce moment-là (et qui m'avaient sans doute entendu) m'ont lancé un fraternel "Salam alaykoum", auquel, surpris,j'ai répondu bêtement par "bonjour". Quant à lui, j'ai bien cru qu'il allait m'embrasser. Il y a des jours où l'on croit en l'humanité...
J'espère qu'à Lyon on peut maintenant se promener sans masque.
RépondreSupprimerCordialement.
Pippo : tout à fait, mais certains le gardent. Mo par exemple, dans les endroits populeux.
RépondreSupprimerTu as raison. Puis, la populace, la lie du peuple pue.
RépondreSupprimerPippo : ce n'est pas ce que je voulais dire, loin de là ! Je visais les lieux trop fréquentés par la foule !
RépondreSupprimerAh ben je suis content pour toi et pour l'humanité toute entière.
RépondreSupprimerCornus : quel optimisme aujourd'hui !
RépondreSupprimerCalyste> Eh bien, c'est toi qui l'es en premier.
RépondreSupprimerCornus c'est le premier qui dit qui y est !
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